Les syndicats

Les syndicats sont créés par des communes ou des communautés de communes décidées à réaliser ensemble un service qu’elles ne peuvent assurer seules.

SAINT JEAN DE THURIGNEUX adhère au CDDRA (région Rhône-Alpes), au SCOT (Val de Saône Dombes), au SIAH (réseau hydaulique), au SIEA (électricité et e-communication) et au SIEP (distribution de l’eau potable).

Pour en savoir plus sur ces structures et la représentation de la commune en leur sein, suivre les liens ci dessous :

A compter du 1er janvier 2020, le SMICTOM Saône Dombes est dissous. L’ensemble des services concernant la gestion des déchets est repris en direct par la Communauté de Communes Dombes Saône Vallée.

Pour en savoir plus sur la « Gestion des déchets », cliquer sur ce lien : Gestion des déchets.

Avenir Dombes Saône et le CDDRA

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Le syndicat mixte «Avenir Dombes-Saône» est chargé de mettre en œuvre le Contrat de Développement Durable Rhône-Alpes.

La Communauté de commune Saône Vallée (CCSV) est représentée au niveau du CDDRA. Le représentant CCSV de Saint Jean de Thurigneux est : 

Pour accompagner chaque bassin de vie et d’emploi, selon ses spécificités, le conseil régional Rhône-Alpes a mis en œuvre des contrats de développement durable de Rhône-Alpes, les CDDRA. Les acteurs locaux, élus et représentants de la société civile, sont ainsi invités à se fédérer pour déterminer ensemble un projet de territoire centré sur les grands enjeux locaux et les priorités de la région.

Une fois le diagnostic et la charte du territoire accomplis, les acteurs du territoire élaborent un programme d’actions qui s’inspire des trois principes-clés suivants :

  • Travailler ensemble sur les grands thèmes de la vie quotidienne : l’économie, le tourisme, l’environnement, le cadre de vie, l’habitat et le foncier, les transports, les technologies de l’information et de la communication, la culture, les sports peuvent faire l’objet, en fonction des spécificités et des besoins locaux, d’actions dites “transversales” et de rayonnement au moins intercommunal.
  • S’attacher aux spécificités du territoire : ce principe vise à mettre en œuvre les politiques régionales en tenant compte des particularités et des besoins de chaque territoire. Cette démarche concerne aujourd’hui l’emploi et la formation par l’intermédiaire des contrats territoriaux emploi formation (CTEF) et l’agriculture avec le projet stratégique agricole et de développement rural (PSADER).
  • Innover et expérimenter : Les CDDRA encouragent les idées nouvelles qui viennent de la confrontation de points de vue, de la concertation, de la sollicitation de différents publics. En sollicitant de multiples acteurs, dont les citoyens, ils facilitent l’émergence de projets novateurs.

Pour en savoir plus sur le CDDRA et le syndicat Avenir Dombes-Saône , suivre le lien : www.avenir-dombes-saone.fr

SCOT – Schéma de Cohérence Territoriale Val de Saône Dombes

scot-val-de-saone-dombes La Communauté de commune Dombes Saône Vallée (CCDSV) est représentée au niveau du SCOT.

Les représentants CCDSV de Saint Jean de Thurigneux sont :

  • Jean-Pierre RIBAULT
  • Olivier LEQUEUE

Parce que nous ne sommes pas seul au milieu de nulle part, l’urbanisme, l’habitat, les zones d’activités, les déplacements, les transports publics, l’environnement doivent s’organiser à l’échelle d’un bassin de vie.

Le syndicat mixte «SCOT Val de Saône Dombes» a l’ambition de répondre à ce défi en se donnant trois priorités :

  • affirmer une identité entre «Val de Saône» et «Dombes»
  • maîtriser le rythme d’accroissement démographique
  • promouvoir le partenariat entre les intercommunalités.

Le SCOT «;Val de Saône Dombes» fixe des orientations générales en termes d’aménagement du territoire et de cohérence des politiques publiques.
Le périmètre du SCOT «Val de Saône Dombes» englobe 4 bassins de vie :

  • Thoissey,
  • St Didier sur Chalaronne,
  • Montmerle sur Saône,
  • Jassans-Riottier
  • Trévoux – Reyrieux

37 communes, dont celles de 5 communautés de communes sont concernées.
Les grands choix stratégiques et les objectifs portent sur :

  • le développement économique
  • l’habitat, la limitation de l’étalement urbain
  • les loisirs
  • les déplacements des personnes et des marchandises, l’incitation aux modes de déplacement durables
  • le stationnement des véhicules et de régulation du trafic automobile
  • la limitation de la consommation des espaces naturels et agricoles

Le PLU (Plan local d’urbanisme) des communes doit être conforme aux préconisations du SCOT.

Pour en savoir plus sur le SCOT Val de Saône Dombes, suivre le lien : www.scot-saonedombes.fr

Le sou des écoles

  • Association à but non lucratif régie par la loi 1901, organise tout au long de l’année scolaire des manifestations qui permettent de récolter des fonds afin de financer les activités périscolaires, spectacles, sorties pédagogiques ou autre classe verte
    pour les classes de l’École des étangs.

Le bureau du Sou des écoles :

  • Présidente: Marion COLIN
  • Trésorier : Olivier CHANRION
  • Secrétaire :

Le Club du soleil

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Siège social depuis le 09/12/2009 :
75 chemin de Pagne
Les Crêtes
01390 Saint-Jean-de-Thurigneux

Tél. 07.82.91.75.50

Courriel : cslyon@laposte.net
Site Internet : http://cslyon.nature.free.fr

Association déclarée à la Préfecture du Rhône le 16 mai 1974 (J.O. du 1er juin 1974) sous le n° W691064330.
Numéro d’identification SIRENE : 524 413 531

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Président :

M. Roland MICHALLET

Objet de l’association :

Le Club du Soleil a pour but de contribuer à l’épanouissement des hommes et des femmes en faisant connaître les bienfaits du naturisme pour la santé et l’éducation ; de promouvoir une vie saine en harmonie avec la nature caractérisée par la pratique de la nudité en commun favorisant le respect de soi-même, des autres et de l’environnement.

L’association est propriétaire d’un terrain de loisirs (home collectif, piscine, pétanque, volley, espaces de détente et de jeux,…) situé au hameau des Crêtes à Saint Jean de Thurigneux.

Le Club est affilié à la Fédération Française de Naturisme, et est membre du réseau refuge pour les oiseaux de la LPO (Ligue pour la Protection des Oiseaux).
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Le mot du président

Le club du soleil est un club familial. C’est un havre de verdure, de calme et de tranquillité, accueillant des membres adhérents à l’année, mais aussi des amis naturistes de passage, venant de toute la France et de l’étranger.

Chacun peut ainsi faire une halte au cœur de la Dombes et se laisser tenter à rester quelques jours de plus, afin de profiter de la piscine et des installations proposés.

Très proche de la métropole Lyonnaise, mais en pleine campagne, c’est une base de départ idéale pour découvrir la Dombes mais aussi les autres régions environnantes, avec leurs typicités, leurs vins et leurs gastronomies.

Nous seront heureux de vous accueillir après nous avoir préalablement contactés par mail ou par téléphone.

A bientôt

La société de chasse

SOCIETE DE CHASSE COMMUNALE DE SAINT-JEAN-DE-THURIGNEUX

Association à but non lucratif régie par la loi 1901.

Ses objectifs :

  • lapinRegrouper les chasseurs habitant la commune, en vue de favoriser le développement du gibier, par la protection, le repeuplement, les aménagements, la destruction des nuisibles et la répression du braconnage et l’exploitation rationnelle de la chasse sur les terrains où la société possède le droit de chasse.
  • Assurer le respect des propriétés et des cultures.sanglier
  • Défendre les intérêts des chasseurs par tous les moyens légaux.

Composition du bureau :

  • Président : Gilbert GRIMAND
  • Tél.  / mobile : 06.80.01.34.06faisan
    • Trésorier : Christian RISSONS
    • Secrétaire : Jean-Philippe RABATEL

Les associations

Les associations sont indispensables au fonctionnement harmonieux de la commune : elles prennent en charge des services et aides aux habitants ou défendent des intérêts communs. De par leur bénévolat et leurs actions promotionnelles, elles sont au cœur de l’animation de la commune.

Pour en savoir plus sur ces associations, suivre les liens ci-dessous :

La Vaupierre et l’épisode des Autrichiens

Au début de l’année 1814, l’empire de Napoléon 1er s’écroule. Les armées de la coalition envahissent la France. Les Autrichiens occupent la région lyonnaise.

«A l’arrière des combats, les paysans d’abord indifférents furent exaspérés par les violences commises : ils s’armèrent de fourches, de faux, de fusils de chasse et attaquèrent en francs-tireurs ; en Lorraine, une colonne russe perdit 3 000 hommes sans avoir vu un soldat …».  [Cours d’histoire Malet-Isaac, période 1789-1851, Hachette 1950]

Un habitant de REYRIEUX du hameau de Fontaine-Bénite, Jean-Claude PERRET, a fait un «récit de la prise d’un poste autrichien à La Vaupière, commune de Saint Jean de Thurigneux».  [A ce jour, “La Vaupière” s’écrit “La Vaupierre” avec deux “R”; le texte du récit est retranscrit tel qu’il a été rédigé, avec un seul “R” et “E” accent grave, les cartes napoléoniennes de 1823 adoptent aussi cette orthographe].

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Voici ce qu’il écrit :

«Lors de leur séjour à Saint Jean de Thurigneux, les Autrichiens s’étaient emparés d’une grosse ferme dénommée La Vaupière et l’avaient fait occuper par une vingtaine de leurs hommes. Ces soldats au mépris de toute discipline, sortaient la nuit, armés et par petits groupes, parcouraient les campagnes, s’introduisaient de force dans les maisons isolées, où ils se livraient au pillage, au vol , au rapt et au viol.
Ils avaient, cependant, un chef qui eut dû se servir de son autorité pour les ramener dans le devoir, mais la rumeur courait que ce capitaine, ou les autorisait, ou ne faisait rien, du moins, pour les détourner de leurs mauvaises actions.

Notre indignation fût si grande en apprenant ces méfaits, que, de concert avec quelques citoyens de REYRIEUX et de POUILLEUX nous jurâmes de les faire cesser.
Nous nous assemblâmes au nombre d’environ cinquante, parmi lesquels se trouvaient les deux fils du propriétaire de La Vaupière ainsi que leur homme d’affaire, et nous décidâmes de prendre de gré ou de force le poste ennemi. Notre plan d’attaque fut ainsi conçu et arrêté : notre petite troupe, divisée en deux colonnes, se dirigeait sur La Vaupière par deux chemins différents : l’une par le chemin du bourg, l’autre par celui de l’étang Dumont. Elle tomberait à l’improviste sur le poste et tenterait d’enlever, sans coup férir, les armes qu’il contenait. Les Autrichiens étant alors désarmés, sans moyens de défense, seraient faits prisonniers et conduits à Lyon devant leurs chefs, à qui l’on dénoncerait leur infâme conduite.

Notre intention était d’agir avec prudence, ce plan ne réussit pas complètement, surtout en ce dernier point et il y eut des victimes de part et d’autre.
Pour le mettre à exécution, chacun s’arma de ce qu’il put se procurer. Quelques uns prirent des fourches, d’autres des faux, vingt-cinq seulement trouvèrent de vieux fusils de chasse ou de munition, avec quelques balles et un peu de poudre. Notre armement était bien imparfait. Pourtant, il s’agissait de combattre des hommes aguerris et fortement retranchés. Mais notre courage suppléait à notre pénurie et ne redoutait aucun obstacle.

Le 22 janvier, nous partîmes en bon ordre de POUILLEUX et nous arrivâmes à 1 heure et demi sur la chaussée de l’étang Dumont où nous attendaient les autorités de Saint Jean, que nous avions à l’avance informées de notre résolution. Nous leur expliquâmes le sujet et le but de notre prise d’armes. Ces Messieurs ne témoignèrent aucun blâme et nous dirent simplement : “Messieurs, vous êtes en force, nous vous laissons maîtres de vos actions ; nous nous retirons”.

De nouveaux renseignements nous avaient appris que le nombre de défenseurs du poste n’était plus que de dix huit environ, trois d’entre eux ayant été tués la veille dans une de leurs excursions nocturnes. Un espion vint encore nous informer qu’ils étaient en ce moment sans méfiance et se chauffaient dans la salle basse. Leurs armes étaient disposées en faisceaux au milieu de la pièce. Trois des leurs, considérés comme des domestiques du capitaine, se trouvaient au premier étage. L’heure de l’attaque semblait donc bien choisie ; elle eut lieu immédiatement.
Quinze de nos hommes les plus vigoureux avaient pour mission de surprendre le poste et d’en enlever les armes. Ils s’approchèrent donc sans bruit de la maison et tentèrent d’en forcer l’entrée ; mais cinq seulement réussirent dans ce coup de main. Les autres furent repoussés par l’ennemi, qui, promptement remis de sa surprise, referma la porte et la barricada intérieurement.

Par suite de ce contre temps, cinq de nos camarades se trouvaient en cet instant aux prises avec toutes les forces du poste. L’un deux tomba bientôt, percé de dix sept coups de baïonnette. Nous entendions du dehors le combat inégal qu’ils soutenaient. Il était urgent de leur porter secours.

Alexis, l’homme d’affaire de La Vaupière, monta l’escalier extérieur et pénétra dans le logement du capitaine. Celui-ci avait déjà soutenu une lutte vive. Il brandit contre lui son épée formidable. Alexis qui était d’une force peu commune, se jeta résolument sur son adversaire, lui saisit le poignet, et, par un effort énergique, détourna l’arme dirigée contre lui.

Une lutte inouïe, corps à corps, s’engagea alors entre ces hommes ; elle eut peut être tourné au désavantage de l’homme d’affaire, sans l’arrivée opportune d’un de ses frères d’armes, qui abattit le capitaine à coups de crosse de fusil. Ils prirent ensuite ce chef par les pieds et le trainèrent par l’escalier en lui faisant compter les marches avec la tête. Dès qu’il fut descendu, on l’acheva d’un coup de fusil dans le ventre.

Pendant que cette scène se passait au premier, le rez de chaussée était témoin d’une lutte non moins animée. Le reste de notre troupe, sans perdre de temps, avait réuni ses efforts pour une attaque commune et énergique. Un entrebâillement de quelques pouces que nous pûmes faire à la porte nous permit de voir qu’elle était défendue par quelques Autrichiens. Une décharge de vingt coups de fusil partie de nos rangs la fit céder, puis elle tomba sur les corps inanimés de ses défenseurs. Le résultat de cette manœuvre fut décisif. L’ennemi, se voyant incapable de résister, se rendit à discrétion.

Notre triomphe était, dès ce moment complet, mais à quel prix n’était-il pas acheté ! La ferme de La Vaupière présentait un tableau lamentable. Une partie de nos camarades gisaient à terre, pêle-mêle, inertes et ensanglantés. Des blessés nous tendaient la main, faisant entendre des plaintes et des cris déchirants : “Donnez moi du secours … je me meurs … Conduisez moi au village” disaient-ils.
Nous conduisîmes tous nos blessés à REYRIEUX, où nous les fîmes panser par le docteur FOURNIER, qui habitait la localité.

Le lendemain, une escorte conduisait les prisonniers autrichiens à LYON auprès du général AUGEREAU. Ce général, qui déjà était instruit de notre exploit, reçut nos camarades avec bonne grâce et leur offrit même des secours pécuniaires pour retourner dans leur foyer». [Episode de 1814 ou récit de la prise d’un poste autrichien à La Vaupière, commune de Saint Jean de Thurigneux (Ain) – Jean Claude PERRET, Imprimerie et lithographie de JC.Damour, TREVOUX, 1867]

[Le document original partiel (absence des chapitres 2 à 7) est consultable sur le site de la Bibliothèque Nationale de France : gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6297687b/f5.image]

Ce récit est celui d’un homme qui a participé à cette attaque. Il a été publié 53 ans après l’événement, mais il rend bien compte de l’état d’esprit qui régnait à cette époque.

Les faits relatés n’ont pas été vérifiés rigoureusement mais, pour l’essentiel, ils sont confirmés par Ronald ZINS, spécialiste de l’histoire de l’Empire dans son livre « 1814 l’armée de Lyon ultime espoir de Napoléon» page 123 :
«A la fin du mois de janvier 1814, AUGEREAU jouit d’un grand prestige à Lyon tant dans la population que dans l’armée. Son dynamisme a évité le pire et il s’active à mettre son armée sur pied de guerre. Le maréchal organise la garde nationale, structure ses troupes de ligne, appelle les renforts dans tout le Midi et dirige l’insurrection des campagnes. La présence d’une armée régulière commandée par le duc de CASTIGLIONE stimule apparemment la résistance et les exemples de lutte contre l’envahisseur sont nombreux…
A Saint Jean de Thurigneux, dans l’Ain, un détachement de 21 soldats ennemis est attaqué par les habitants qui tuent 12 d’entre eux et capturent les 9 autres ».
[Cf. 1814 L’armée de Lyon ultime espoir de Napoléon, Ronald ZINS, Editions Horace Cardon, Massieux, 1998]

LIGNEUX et sa Poype

blason-de-la-famille-de-thoire-et-villars
Blason de la famille de Thoire et Villars – bandé d’or et de gueules de six pièces

Les premières mentions du site castral de Ligneux, probablement fondé par la famille de Villars, remontent au début du 12e siècle : Adalard de Villars, chevalier, en est le plus ancien seigneur connu (vers 1100).

A la fin du 12e siècle, le site comprenait également un habitat ; il est qualifié de “castellum cum burgo”, ce qui montre son importance, lorsqu’ Etienne II de Villars le cède en 1186 à Guichard, abbé de l’Ile-Barbe (Lyon).

Un prieuré dépendant de l’abbaye de l’Ile-Barbe y est construit, et le passage de la seigneurie sous l’autorité ecclésiastique entraîne un changement de mode de fonctionnement, le prieur de Ligneux assurant en même temps la fonction de châtelain.

Lorsque fut constituée la principauté de Dombes, au tout début du 15e siècle, Ligneux était le chef-lieu de l’une des douze châtellenies qui la composaient ; de cette châtellenie dépendaient la partie dombiste de la paroisse de Saint-Jean de Thurigneux et toute la paroisse de Rancé.

Lors des incursions savoyardes en vue de la conquête de la Dombes, le château fort résista en 1460 aux troupes du comte Amédée VIII de Savoie.

Le fief de Ligneux reste possession de l’abbaye de l’Ile-Barbe jusqu’en 1665, date à laquelle il est cédé à Mgr. Camille de Neuville, archevêque de Lyon, dont hérite, en 1704, François de Neuville, duc de Villeroy, avant d’être possédé un temps par les Luxembourg.

Le château et seigneurie de Ligneux, qualifiés de baronnie, passèrent par mariage aux Boufflers : Joseph-Marie, duc de Boufflers, en fit hommage en 1740.

L’état des fiefs dressé en 1772 consigne à nouveau “le château et seigneurie de Lignieu, paroisse de Saint-Jean”, ainsi que “la justice dudit Lignieu”

Notez que : Ligneux était orthographié Lignieu parmi les possessions du sieur de Luxembourg, qui apparaissent encore en 1784, dans les Rôles des privilégiés de Bresse et Dombes, au nom de madame la maréchale de Luxembourg.

On ignore à quelle époque le site fut abandonné. Selon les historiens du milieu du 19e siècle, la “poype” (ou motte castrale) aurait été encore surmontée d’une tour octogone et entourée d’une enceinte en brique. Il ne reste aujourd’hui que la poype sur laquelle s’élevait le château fort.

Les fouilles archéologiques des années 1980, menées par Jean-Michel Poisson, ont dégagé les vestiges d’un grand bâtiment de plan pentagonal en brique, ainsi que de la céramique médiévale, mais aussi des fragments datables des 17e et 18e siècles.

Informations issues en partie du site : culture.gouv.fr

A quoi ressemblait le château de Ligneux ?

La poype de ligneux a été étudiée par le Centre Interuniversitaire d’Histoire et d’Archéologie Médiévales de l’Université Lyon 2 et par le service départemental d’architecture de l’Ain dont est extrait le document ci-dessous :
reconstitution-et-cadastre-de-ligneux-en-1823
A : motte ou tertre – a : fossé circulaire – B : basse-cour – b : vallonement isolant la basse-cour du tertre – b ‘: fossé entourant la basse-cour

C’était un château à motte. La motte (A) est un tertre artificiel, le plus souvent en forme de tronc de cône généralement conçu pour porter une tour de bois, laquelle était à la fois un dernier refuge défensif et la demeure du Châtelain.

Une palissade ceinturait la base de la tour, percée d’une porte ou d’un portail auquel on accédait par une passerelle inclinée franchissant le fossé (a). Au pied de la motte se trouvaient les communs, eux-mêmes protégés par une seconde enceinte fortifiée : la basse-cour (B).

A ce jour, il reste à Ligneux la “poype”, particulièrement bien conservée. Elle se présente au regard comme une imposante motte castrale boisée de forme tronconique, entourée sur toute sa périphérie d’un large fossé profond de 1 à 2 m.

poype-de-ligneux-photo-jcg-janv-2013

L’étude archéologique publiée en 1986 précise que le site se compose de deux parties juxtaposées, la motte, “et une grande basse-cour, elle-même fermée par des fossés en partie comblés, mais dont le tracé circulaire est très apparent au milieu d’un parcellaire à géométrie orthogonale régulière… Le tertre (ou poype) mesure 36 m de diamètre à la base et 12 m de diamètre au niveau de la plate-forme supérieure ; la hauteur conservée est de 11 m ; la pente est de 45%. La plate-forme porte les vestiges d’un bâtiment de briques, dont la construction doit remonter au XVIIe siècle…”

La grande basse-cour de Ligneux est accolée au tertre au sud-ouest ; le rapport archéologique indique qu’elle est surélevée par rapport aux terrains voisins et qu’elle est de forme elliptique de 200 m sur 100m environ, entourée d’un rempart de terre, ainsi que d’un fossé.

Ce site est dans une propriété privée, il est sous le contrôle de l’État, protégé et classé aux Monuments Historiques.
L’habitat de Ligneux a complètement disparu. Seul a subsisté le village installé autour de l’église actuelle de Saint-Jean.

La Fondation Pierre VEROTS

Étude et préservation de la faune et de la flore en Dombes.

logo-fondation-pierre-verotsDomaine Praillebard, Saint-Jean-de-Thurigneux

Tél. 33 (0)4 74 00 89 33
Courriel : fondation.pierre-verots@wanadoo.fr
Site internet: www.fondation-pierre-verots.com

Etang de Praillebard sous le givreFondation reconnue d’utilité publique, à la suite d’une donation faite par M.et Mme Vérots (M. Vérots, industriel lyonnais, est l’inventeur du moteur VAP).

Ses missions, sa gouvernance (un conseil d’Administration composé de 10 membres) ont été définis par décret le 13 juin 1984, qui lui a accordé la reconnaissance d’utilité publique (De ce fait, les donateurs peuvent largement déduire de leurs impôts les dons consentis à la Fondation). Elle s’implique dans des actions de recherches et de gestion en partenariat avec divers organismes et les résultats obtenus permettent d’améliorer les connaissances sur la faune, flore et les milieux. Mais elle contribue également par les aménagements qu’elle réalise sur son domaine à favoriser la biodiversité. Son territoire, comprenant étangs (57 ha), prairies, bois et terres de cultures, pour un total d’environ 350 ha, s’étend sur 4 communes du sud-ouest de la Dombes : Civrieux, Monthieux, St-André -de-Corcy et St-Jean-de-Thurigneux. (Etabli au 28/02/2013)

Ainsi les opérations de restauration de zones humides menées par la Fondation (comprenant notamment divers aménagements réalisés sur ses étangs mais aussi la réhabilitation d’un étang asséché au 19e siècle), ont offert des conditions plus favorables à la reproduction des oiseaux d’eau ; à titre d’exemple peuvent être cités les observations suivantes, obtenues après la réalisation de divers chantiers :

  • La présence du Fuligule nyroca, canard protégé, dont la reproduction, sur les étangs de la Fondation, est avérée depuis 2003 et suspectée depuis 1998. Il s’agit probablement des seuls cas de reproduction régulière, à l’état sauvage, pour cette espèce sur une même chaine d’étang, en Europe de l’ouest (et même le seul cas de reproduction avéré, avec jeunes à l’envol, en France, depuis 1964, et ce jusqu’en 2010 ou un cas isolé fut signalé ailleurs en Dombes). Pour mémoire cette espèce était connue en Dombes à la fin du 19e siècle et avait quasiment disparu dans les années 1960.
  • Le recensement annuel de 8 à 12 nichées de canards, toutes espèces confondues, par 10 ha d’étang, résultats obtenus régulièrement depuis une quinzaine d’année sur ses étangs et qui semblent en contradiction avec ceux observés sur les autres étangs dombistes. En effet, ailleurs en Dombes cet indice de reproduction est en moyenne inférieur à 2 nichées de canards par 10 ha d’étang (alors que sur l’ensemble de la Dombes il était proche, il y a une cinquantaine d’année, de celui obtenu actuellement sur les étangs de la Fondation).

Ces observations, si elles révèlent une évolution récente du paysage dombiste à priori défavorable à la biodiversité, n’en demeurent pas moins encourageantes car elles prouvent qu’avec une gestion adaptée la situation n’est pas (encore) irréversible.

Enfin, dernier exemple de la biodiversité constatée sur le territoire de la Fondation et découlant en partie de son mode de gestion particulier et des aménagements réalisés, mais certainement également de sa position en tête de bassin de la Brévonne/Chalaronne : La découverte, en 2009, d’une nouvelle espèce de mouche (nouvelle pour la science), parasite des fourmis, ceci à l’occasion d’un inventaire des Diptères, débuté en 2006 et encore en cours. Lors de cet inventaire, 15% des 1000 espèces de mouches recensées sur la Fondation n’avaient encore jamais été décrites en France, preuve qu’il reste encore beaucoup à faire sur l’étude des milieux et espèces. Le développement de programmes de recherche permettra, par les découvertes obtenues, de mieux comprendre le fonctionnement des écosystèmes. Il convient de rappeler que l’écosystème “étang dombiste” est en réalité un agro-système puisque créé par l’homme pour la production de poissons, en extensif, et ceci de façon pérenne en utilisant au mieux les ressources du milieu.

Si l’accueil du public ne peut se faire sur le domaine dévolu à la recherche scientifique et à la protection, la Fondation reste consciente de la nécessité d’informer. Ainsi l’accueil et l’information du public ne peuvent être traités de la même façon. Les actualités développées dans sa lettre d’information sont là pour démontrer, si besoin était, de l’étendu des résultats obtenus depuis 1984. Depuis peu, elle publie également Les cahiers de la Fondation, à portée plus scientifique. La Fondation participe ponctuellement à des manifestations ou évènements destinés au public, outre l’organisation de deux colloques sur les “Zones humides continentales : des chercheurs au gestionnaires, 2002” puis sur “Les insectes en zone humides continentales, 2008”, elle a co-édité, en 2009, avec l’Académie de la Dombes un ouvrage sur “Les Oiseaux dombistes, une mise à jour, par Alain Bernard et Philippe Lebreton”. Par ailleurs, la Fondation a l’ambition de réaliser, en 2014, pour son 30e anniversaire, un colloque sur la gestion naturaliste des étangs dombistes.

Bien que travaillant en Dombes, elle peut intervenir sur l’ensemble du territoire français et son développement dépend en partie du mécénat et soutien dont elle peut bénéficier.

Vous pouvez vous connecter sur son site www.fondation-pierre-verots.com pour obtenir plus d’information sur les études menées et sur l’étendue de ses missions. (Le 1/03/2013, Benoît Castanier)le-siege-de-la-fondation-enserre-entre-la-foret-des-oies-et-letang-praillebard-recree-en-decembre-1999-et-devolu-a-la-pisciculture-et-aux-etudes-sur-la-faune-et-la-flore-photo-b-castanier

Liens utiles

PORTAIL DES SERVICES PUBLICS

France services de Dombes Villars

https://www.france-services.gouv.01390

673 Rue Pierre Poivre
ZAC de la Tuilerie
01330 Villars-les-Dombes

 

Première réponse à vos questions d’ordre administratif :

Tél. 3939 ou suivre le lien :

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Assurance maladie

  • Assurance maladie – Sécurité sociale

Assurance maladie du régime général

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  • MSA Ain / Rhône

Assurance maladie des professions agricoles

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ASSISTANTE SOCIALE

Pour contacter l’assistante sociale téléphoner au Centre Médico-social de JASSANS : Tél. 04 74 09 85 00

Accueil sur les sites suivants :

  • Place de la République à Jassans : Tél. 04 74 09 85 00
  • Espace Talançonnais à Reyrieux : Tél. 04 74 00 56 24

Assistante sociale, service scolaire :

Permanence et accueil sur les sites suivants :

  • Lycée de Trévoux : (jeudi) Tél. 04 74 00 52 00
  • Collège de ST André de Corcy : (lundi) Tél. 04 72 26 88 00
  • Collège de TREVOUX : (mardi-mercredi-vendredi) Tél. 04 74 08 94 74

ASSOCIATIONS SOLIDAIRES ET SERVICES SOCIAUX

Les associations solidaires et services sociaux sont présentés sur le site de la Communauté de Communes Saône Vallée : CCDSV-Formation-et-emploi


ASSOCIATION “Vivre en Dombes Saône Vallée”

“VIVRE EN DOMBES SAÔNE VALLEE” est une association sans but lucratif. Elle propose à ses adhérents :

  • une complémentaire santé basée sur un contrat groupe négocié avec la MTRL. Le montant des cotisations est indépendant de l’âge du bénéficiaire. Seule la notion actif/retraité conditionne la tarification.
  • des réductions sur des produits et services

Vous pouvez consulter son site internet à l’adresse :
www.vivre-en-dombes-saone-va…


Calcul d’itinéraire : “OùRA!”

En savoir plus : OùRA! !


Collectivité, Intercommunalité, Puissance publique

  • CCDSV – Communauté de Commune Dombes-Saône

    https://ccdsv.fr/

  • Préfecture de l’AIN

    lien-vers-la-prefecture-de-lain

 

  • Région Rhône-Alpes :

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Conseil aux voyageurs

Conseils du ministère des affaires étrangères :

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Culture, divertissement

  • L’académie de Dombes

Pour tout savoir ou presque sur la Dombes :

:lien-vers-site-academie-de-dombes

Office du tourisme – ars-trevoux


LOGEMENT, amélioration de l’habitat

A.D.I.L (Association Départementale d’Information sur le logement)

34, rue Général Delestraint
01000 BOURG EN BRESSE
Tél. 04 74 21 82 77
Courriel : adil.01@wanadoo.fr
Permanence à TREVOUX – 32, Grande rue, Salle Paul Desplaces, 2ème lundi de chaque mois de 14h à 17h sur RDV uniquement.
Pour en savoir plus, suivre le lien : www.adil01.org

A.N.A.H (Agence Nationale pour l’Amélioration de l’Habitat)

L’ANAH attribue chaque année des subventions pour l’amélioration de logements du parc privé, et attribue des primes spécifiques pour l’installation de matériels performants et de technologies émergentes utilisant des énergies nouvelles et renouvelables.
Pour tous renseignements ou pour tout dossier à déposer :
ANAH/DIPAS (Direction Générale de la Prévention et de l’Action Sociale)
Conseil Général de l’Ain – 10, rue Pavé d’Amour – BP 45
01012 BOURG EN BRESSE
Tél 04 74 32 32 70
Pour en savoir plus, suivre le lien : www.anah.fr

DYNACITE (ex-OPAC de l’ain)

Pour toutes demandes de logements :
390, boulevard du 8 mai 1945
01013 Bourg en Bresse
Tél : 04 74 45 89 89
Agence de Jassans-Riottier
143, place Limelette 01480 JASSANS RIOTTIER
Tél : 04 74 60 94 72
Fax : 04 74 60 76 88
Pour en savoir plus, suivre le lien : www.dynacite.fr

SEMCODA

Pour toutes demandes de logements :
9, rue de la Grenouillère BP 1007
01009 Bourg en Bresse Cedex
Tél : 04 74 22 40 66
Fax : 04 74 45 27 82
Pour en savoir plus, suivre le lien : www.semcoda.com


Lois et règlementations

  • Legifrance :

Nul n’est censé ignoré la loi : toutes les lois et réglementations en ligne


SERVICE DE L’ EAU POTABLE – SAUR

Consommation d’eau – pose d’un nouveau compteur
Tel 03 60 56 40 46 (prix d’un appel local – du lundi au vendredi de 8h/18h et le samedi de 9h/12h)

Contact : 40 Chemin des 3 fontaines – 01390 Civrieux en Dombes

SERVICE DES EAUX USEES
CCDSV Service des eaux usées et assainissement


PRESSE LOCALE

Vos correspondants de presse :
Vous organisez une manifestation dans la commune, vous voulez marquer un événement familial, vous voulez passer une annonce, faire de la publicité, pensez à contacter vos correspondants, vous ferez vivre votre village dans la presse locale.

Le Progrès :
M. Jacques CHIROUZES
TRÉVOUX
Tél : 04 74 08 56 25  –  Courriel : jacques.chirouzes@gmail.com

La Voix de l’Ain :
M. Alain DUFOUR
Ambérieux en Dombes
Tél : 06 27 16 29 55  –  Courriel : alain.dufour90@orange.fr 


La POSTE

Place des Millières – 01390 ST ANDRE DE CORCY
Tél : 04 37 92 10 80
Site internet : www.laposte.fr


RSE – Régie Services Energie

577 route de St Trivier
01330 AMBERIEUX EN DOMBES
Tél : 04 74 08 07 07
Fax : 04 74 08 07 00
Courriel : contact@RSE.com

Fournisseur et distributeur d’énergie électrique
Pour en savoir plus sur la RSE, suivre le lien : www.rse01.com


Retraite

Retraite complémentaires des salariés du secteur privé AGIRC – ARRCO : www.agirc-arrco.fr

Retraite complémentaire des salariés non titulaire de la fonction publique – IRCANTEC : www.ircantec.retraites.fr

Retraite Sécurité Sociale : www.lassuranceretraite.fr 

Retraite MSA : http://www.msa.fr


Sécurité routière – Code de la route – Permis de conduire

Sécurité routière

Êtes vous sûr de bien connaitre les règles et les dangers de la route ?
Organisme gouvernemental la Sécurité routière vous propose, sur son site, une révision générale :

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Le permis malgré le handicap

Aider les personnes en situation de handicap dans le domaine de la mobilité, c’est l’un des objectifs du Centre de ressources et d’innovation mobilité handicap (Ceremh) :
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(Ré)apprenez le code de la route

Une mise à niveau sur le Code de la route n’est jamais de trop :
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Sécurité des systèmes d’information

Pour tout savoir ou presque sur la sécurité des communications informatiques:
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Santé, urgences

POMPIERS :

  • appelez le 18

URGENCE MEDICALE “SAMU”:

  • appelez le 15 ou 112

GENDARMERIE, POLICE

  • appelez le 17 ou :
    • Villars, appelez le 04 74 98 02 17
    • Trévoux, appelez le 04 74 00 13 99

POLE DE SANTE pluriprofessionnel

417 route de Civrieux – St Jean de Thurigneux

  • Infirmières DE

    • Justine Lhermitte / Lucile Lièvre
    • Tel : 06 16 36 43 59
  • Ostéopathes DE

    • Laetitia Llorens / Etienne Jomard
    • Tel : 07 81 74 13 75
  • Masseur /Kinésithérapeute DE

    • Laurence PRALUS RENDU (Certificat d’Ostéopathie)
    • Tel : 04 78 91 47 21
    • Diététicienne Nutritionniste

      • Anne BLUM
      • Tel 06 51 69 37 75
    • Tatouage, Maquillage permanent, Soins esthétiques

      • B Perfect Institut, Brigitte Chamagne
      • Tel 06 80 90 78 86

      INFIRMIERE PUERICULTRICE à JASSANS

      • Centre Médico-social

        • Consultations jeunes enfants (nourrissons jusqu’à 6 ans)
      • Puéricultrice :

        • Vendredi sur rendez-vous ou visites à domicile
        • Tél. 04 74 09 85 00
        • Les vaccinations obligatoires y sont effectuées.

      CENTRES D’ACCUEIL

      • Aux Lucioles

        L’accueil de jour «Aux Lucioles» propose à Reyrieux, un accueil familial et convivial. Cette structure de proximité soutien et prolonge le maintien à domicile des personnes dont la perte d’autonomie nécessite une stimulation et un accompagnement adapté.

        Contact : Sabine CLAPISSON au 04 74 00 85 01

      • Centre d’Accueil et de Soins JONATHAN

      Centre conventionné pour les toxicomanes

      131, rue de l’Arc à Villefranche sur Saône

      (accueil individuel ou accueil famille – peut intervenir en matière de prévention suivant les demandes)

      Tél : 04 74 62 15 92

      Ouvert au public sur rendez-vous de préférence :

      • Lundi mardi jeudi vendredi de 9h à 12h
      • Lundi mardi jeudi de 14h à 18h
      • Mercredi de 14h à 18h30<
      • Vendredi de 14h à 17h

      L’Association JONATHAN gère également un point d’accueil à l’écoute des jeunes en difficultés (de 12 ans jusqu’à 25 ans) :

      L’Intermède, 355, rue Lamartine à Villefranche sur Saône.

      Tél : 04 74 09 48 55

      • Centre d’Alcoologie

      114 bis, bd de Brou 01000 BOURG EN BRESSE

      Tél. 04 74 23 36 61

      Courriel : comité01@anpa.asso.fr

      Possibilité de rendez-vous au Centre Médico-social de Jassans, Trévoux ou Villars les Dombes. Consultations gratuites

      • Centre Médico-psychologique de TREVOUX

        Allée de l’Esme (près de la caserne des pompiers)

      Pour adultes :

      Tél. 04 74 00 56 34 sur RDV

      Accueil téléphonique du lundi au vendredi de 8h30 à 17h15

      Pour enfants :

      Tél. 04 74 00 63 10 sur RDV

      Accueil téléphonique du lundi au jeudi soir de 8h30 à 12h30 et de 13h15 à 17h.

      Le conseil municipal

      Le conseil municipal élu en 2020 

      Conseil_municipal_2020-2026Le conseil municipal délibère sur les affaires de la commune. Il est élu au suffrage universel direct par les électeurs de la commune. L’exécutif (le maire et ses adjoints) est élu par le conseil municipal lors de la première séance qui suit son élection. Le conseil municipal se réunit en principe une fois par mois (obligation légale : une fois par trimestre).

       

      Maire :
      Stéphane BERTHOMIEU
      1er Adjoint : 2ème Adjointe : 3ème Adjoint :
      Jean-Pierre RIBAULT Isabelle ROGNARD
      Jean Louis LAISSARD
      Délégations : Affaires générales, finances, personnel, urbanisme et environnement.

      . Assisté par le conseiller délégué Michel MORLOT

      Délégations : affaires scolaires, sportives, relation avec les associations Délégations : Suivi des travaux, entretien des espaces extérieurs, voirie, accessibilité.

      Conseillers municipaux avec délégation:

       Sandrine TOMAS  Michel MORLOT
      Affaire générale, gestion du personnel, site internet, communication en soutien au Maire Ecologie, nouvelles technologies, risques majeurs en soutien au 1er adjoint

      Conseillers municipaux :

      Elisabeth BAISE METRAL-GROGNET
      Myriam LANTENOIS
      Olivier LEQUEUE Fernanda MOUREAU Vincent NAVEAU
        Hervé  ODET Martine PAQUIER
      Cyrielle PETIT
       Pierre  VIRET

       

      Commissions communales et extra communales

      COMMISSIONS COMMUNALES

      Les commissions communales sont chargées d’étudier les dossiers de leur domaine de compétence pour éclairer le conseil municipal lors des délibérations.
      Le maire est président de droit de toutes les commissions communales.

      • Commission des finances :
        – Président : Stéphane BERTHOMIEU
        – Sandrine TOMAS, Isabelle ROGNARD, Fernanda MOUREAU, Olivier LEQUEUE, Hervé ODET, Pierre VIRET
      • Commission Environnement – Développement – Urbanisme – Bâtiment communaux – Plan d’eau – Cimetière :
        – Président : Stéphane BERTHOMIEU
        – Vincent NAVEAU, Elisabeth BAISE-GROGNET, Michel MORLOT, Olivier LEQUEUE, Jean-Pierre RIBAULT, Hervé ODET, Isabelle ROGNARD, Jean-Louis LAISSARD
      • Commission du Personnel :
        – Président : Stéphane BERTHOMIEU

        – Sandrine TOMAS, Myriam LANTENOIS, Fernanda MOUREAU, Isabelle ROGNARD, Jean-Louis LAISSARD
      • Commission des attributions des logements communaux :
        – Président : Stéphane BERTHOMIEU

        – Myriam LANTENOIS, Fernanda MOUREAU, Cyrielle PETIT, Martine PAQUIER, Olivier LEQUEUE
      • Commission Commerce :
        – Président : Stéphane BERTHOMIEU
        – Vincent NAVEAU, Jean-Louis LAISSARD, Hervé ODET, Elisabeth BAISE-GROGNET, Cyrielle PETIT, Jean-Pierre RIBAULT, Martine PAQUIER
      • Commission des chemins vicinaux et ruraux et gestion des bois :
        – Président : Stéphane BERTHOMIEU
        – Jean-Pierre RIBAULT, Hervé ODET, Jean-Louis LAISSARD, Olivier LEQUEUE, Michel MORLOT, Vincent NAVEAU
      • Commission des Piégeages et autres destructions « rats musqués » :
        – Président : Stéphane BERTHOMIEU
        – Serge LARDET, Robert ANDREANI
      • Commission du fleurissement :
        – Président : Stéphane BERTHOMIEU
        – Elisabeth BAISE-GROGNET, Cyrielle PETIT, Fernanda MOUREAU, Isabelle ROGNARD
      • Commission Communication – Bulletin municipal – Tourisme – Information, Site Internet :
        – Président : Stéphane BERTHOMIEU
        – Martine PAQUIER, Elisabeth BAISE-GROGNET, Sandrine TOMAS, Jean-Pierre RIBAULT, Myriam LANTENOIS, Michel MORLOT, Pierre VIRET
      • Commission Appel d’offres :
        – Président : Stéphane BERTHOMIEU
        – Titulaires : Jean-Pierre RIBAULT, Sandrine TOMAS, Jean-Louis LAISSARD
        – Suppléants : Hervé ODET, Elisabeth BAISE-GROGNET
      • Commission Communale des impôts directs :
        – Titulaires : Hervé ODET, Jean-Pierre RIBAULT, André COLLON, Christiane PIGNOLI, Jean-Paul CHEVREL, Elisabeth BAISE-GROGNET, Jean-Paul CHAPOLARD, René LIEVRE, Yves BOUTARIC, La Fondation Pierre VEROTS, Daniel CAUDRELIER
        – Suppléants : Henri ODET, Sté Sylvicole de RANCÉ, Indivision FÉLICIE SIMON, Yolande NAVEAU, Annie BOULON, Aurélie ANDREANI, Ghislaine BEAUME, Sandrine TOMAS, Jean-Charles GALINDO, Fernanda MOUREAU, Michel MORLOT
      • Commission Jeunesse – Conseil Municipal des jeunes :
        – Président : Stéphane BERTHOMIEU
        – Elisabeth BAISE-GROGNET, Isabelle ROGNARD, Pierre VIRET, Cyrielle PETIT, Myriam LANTENOIS

      COMMISIONS EXTRA COMMUNALES

      • Commission de la Prévention Routière :
        – Représentant communal : Olivier LEQUEUE, Vincent NAVEAU, Jean-Pierre RIBAULT
      • Délégué à la défense : Cyrielle PETIT
      • Référent Passerelle : Myriam LANTENOIS, Martine PAQUIER
      • Référent Ambroisie : Hervé ODET

      Les agents

      Une équipe au service des Thurignaciens

      Personnel administratif :

      Pour répondre à toute demande en matière d’urbanisme, d’état-civil, d’affaires scolaires et suivre au quotidien les dossiers de la commune :

      Grégory ROUSSEAU

      Pascale DUPRAS

      Personnel technique :

      Pour l’entretien de la commune (bâtiments, voirie, espaces verts), et tous autres travaux :

      • Bruno Jung, Agent d’entretien des espaces verts, bâtiments et voiries
      • Laurinda MARQUES, Agent polyvalent

      Personnel scolaire / Cantine  :

      Pour l’aide aux classes de maternelle (ATSEM), la surveillance du restaurant scolaire et l’animation de la pause méridienne :

      • Odile CARRETTE et Lydie HERNANDEZ, ATSEM agent territorial spécialisé auprès des maternelles
      • Nelly, Thierry et Jessica : l’ équipe de la garderie (suite à la reprise du service par la commune)
        + le personnel nécessaire à la surveillance et l’animation entre midi et deux.

      Histoire de Saint Jean de Thurigneux

      Les origines : TURINIACUM

      Le nom primitif du village, TURINIACUM, est d’abord mentionné entre 994 et 1032. Trois fiefs existaient sur le territoire de la commune : le Buisson, Arcieux et Ligneux…

      De Ligneux, chef-lieu de la châtellenie de Dombes, ne subsiste que la poype, entourée de fossés. L’actuel “Saint Jean de Thurigneux”, hormis une petite partie qui dépendait de la principauté et de l’archiprêtré de Dombes, était compris dans le Franc-Lyonnais.

      En effet, vers 1100, l’Eglise de Lyon avait acquis l’église de Thurigneux avec une partie du territoire de la paroisse ; cette fraction resta par la suite dans le Franc-Lyonnais jusqu’en 1789, c’est donc le chapitre de Saint-Jean de Lyon qui nommait à la cure.

      Pendant la Révolution de 1789, le nom de la commune changea pour Ligneux jusqu’en 1793. En 1801, elle se nomma passagèrement Saint Jean de Tusigneuxpour redevenir définitivement Saint Jean de Thurigneux (source : Bulletin des lois 1801).

      Comment est-on passé de TURINIACUM à SAINT JEAN de THURIGNEUX ?

      Si «SAINT JEAN» peut être lié à l’église sans trop de doute, en revanche THURIGNEUX est plus problématique

      Est ce la contraction de «Tour de Ligneux» ?

      Il est vrai que TURINIACUM contient une racine latine «TURRIS» qui signifie «Tour de Bois». En Suisse romande, en Savoie, en Bresse et dans le Bugey, TURINIACUM, «dérivé du gentilice TURINIUS et du suffixe gaulois de possession “-acum”», est aussi la racine de noms de domaines d’origine gallo-romaine tels que «Turignat, Thurignat, Turignin».

      A ce propos, un hameau de la commune du CROTTET en Bresse porte le nom de “Thurignat”.

      La question reste donc ouverte !!

      LIGNEUX

      poype-de-ligneux-photo-jcg-janv-2013

      Les premières mentions du site castral de Ligneux, probablement fondé par la famille de Villars, remontent au début du 12e siècle : Adalard de Villars, chevalier, en est le plus ancien seigneur connu (vers 1100).

      Pour en savoir plus sur LIGNEUX, suivre ce lien : LIGNEUX et sa Poype


      La Grande Vaupierre et “l’épisode des Autrichiens”, fin du règne de NAPOLEON 1er

      Au début de l’année 1814, c’est l’écroulement de l’empire de Napoléon 1er, les armées de la coalition envahissent la France. Les Autrichiens occupent la région lyonnaise.

      «A l’arrière des combats, les paysans d’abord indifférents furent exaspérés par les violences commises : ils s’armèrent de fourches, de faux, de fusils de chasse et attaquèrent en francs-tireurs ; en Lorraine, une colonne russe perdit 3 000 hommes sans avoir vu un soldat …» [Cours d’histoire Malet-Isaac, période 1789-1851, Hachette 1950].

      Un habitant de REYRIEUX du hameau de Fontaine-Bénite, Jean-Claude PERRET, a fait un « récit de la prise d’un poste autrichien à La Vaupière , commune de Saint Jean de Thurigneux» [[A ce jour, “La Vaupière” s’écrit “La Vaupierre” avec deux “R”; le texte du récit est retranscrit tel qu’il a été rédigé, avec un seul “R” et “E” accent grave, les cartes napoléoniennes de 1823 adoptent aussi cette orthographe.

      la-ferme-de-la-grande-vaupierre

      Voici ce qu’il écrit : La Vaupierre et l’épisode des Autrichiens

      Localiser Saint Jean de Thurigneux

      Commune de FRANCE en région AUVERGNE-RHONE-ALPES, département de l’AIN (01), SAINT JEAN DE THURIGNEUX est situé à environ 25 km au nord de LYON, en bordure sud-ouest du plateau de la DOMBES et son millier d’étangs.
      Pour savoir presque tout sur la Dombes : Academie de la Dombes 

      localisation-saint-jean
      SAINT JEAN DE THURIGNEUX est l’une des 19 communes de la communauté de communes «DOMBES SAONE VALLEE» (CCDSV)
      Pour en savoir plus sur la : CCDSV  .

      Découvrir Saint Jean de Thurigneux

      SAINT JEAN DE THURIGNEUX, commune située à seulement 30 mn de l’aéroport de LYON SAINT EXUPERY par l’A432, à 20 mn du centre d’affaires de LYON PART DIEU via la gare TER de SAINT ANDRE DE CORCY, a su rester une bourgade rurale où agriculteurs, éleveurs, professions de santé, commerçants, restaurateurs, artisans, industries et associations diverses animent la vie locale.

      saint-jean-vu-depuis-ligneux-ac-fev-2013

      790 Thurignaciens peuplent ce territoire (recensement de 2014) pour 240 habitants recensés en 1968 et 675 en 1821.

      Territoire du plateau de la DOMBES, d’une superficie de 1600 hectares à une altitude comprise entre 265 et 305 mètres, il est drainé par le ruisseau du MORBIER et son affluent le ruisseau de LA PLACE ; le MORBIER étant lui même un affluent du FORMANS, … affluent de la SAÔNE.

      A l’est, la forêt occupe 17 % du territoire. Une dizaine d’étangs, ultimes rescapés de la trentaine présente au début du XXième, sont encore en eau.  A l’ouest le territoire est essentiellement voué à la culture céréalière (blé, colza, tournesol, maïs).

      Hormis au centre bourg, l’habitat est plutôt dispersé voire regroupé en hameaux. Les principaux sont : Herbage, La Combe, Les Douzes, Bois le vin, Ligneux, les Crêtes, Le Besset.

      Les murs en pisé et les toits en tuiles romanes sont les caractéristiques architecturales des fermes traditionnelles.

      La commune est limitrophe des communes d’Ambérieux-en-Dombes au nord, Monthieux à l’est, Civrieux au sud, Reyrieux à l’ouest et Rancé au nord-ouest.

      Depuis 2015 elle appartient au canton de Villars-les-Dombes. Elle a rejoint la Communauté de communes DOMBES-SAONE-VALLEE en janvier 2003.

      Elle accueille sur son territoire la Fondation Pierre VEROTS (centre d’étude et de recherche sur les milieux humides) et jouxte le Golf du Gouverneur de MONTHIEUX (45 trous dont 2 parcours de 18 trous).

      Dans ses alentours, des sites remarquables méritent le détour :

      • ARS sur FORMANS village du Saint Curé (7km),
      • TREVOUX ancienne capitale de la principauté de Dombes (10km),
      • VILLARS LES DOMBES et son Parc aux oiseaux (13 km),
      • CHATILLON SUR CHALARONNE village médiéval (22km),
      • PEROUGES village médiéval (26km),

      … et évidemment LYON (25-30 km), classée au patrimoine mondial de l’UNESCO ; deuxième agglomération de FRANCE.

      la-gaule-romaine

      Ancienne LUGDUNUM, capitale de la Gaule romaine lyonnaise en 27 av JC, siège du pouvoir impérial pour les trois provinces gauloises : elle devint la «Capitale des Gaules».

       

       

      …. mais aussi des étapes gastronomiques de renommée mondiale telles que:

      • Paul BOCUSE à Collonges au Mont d’Or (25 km),
      • Georges BLANC à Vonnas (30 km),

      Sans oublier les multiples commerces “de bouche” et autres restaurants dits plus modestes qui méritent le détour pour leur cadre bucolique et leurs spécialités régionales :

      • cuisses de grenouilles, escargots,
      • chapons, poulardes et poulets de Bresse à la crème,
      • champignons,
      • carpes, brochets, …
      • gibiers à plumes et à poils (canards, faisans, perdrix, lapins, lièvres, sangliers, chevreuils …)
      • charcuteries, cervelas, boudins, andouillettes, …
      • fromages, …

      Ils vous proposeront, en accompagnement, et avec beaucoup de modération, les vins régionaux les plus adaptés : vins du Bugey, crus du Beaujolais et du Maconnais, Bourgognes, Côtes du Rhône, vins du Jura, …

      D’autres informations ? suivre le lien : ars-trevoux.com